Les médias peuvent demander une accréditation de presse permanente ou temporaire pour leurs correspondants. L’accréditation autorise à couvrir l'ensemble des activités se déroulant à l'Office des Nations Unies à Genève, notamment les réunions du Conseil des droits de l'homme, les pourparlers de paix et d’autres grands événements et conférences.
Les correspondants accrédités assistent aux briefings bihebdomadaires présidés par la porte-parole des Nations Unies à Genève et auxquels participent aussi les porte-parole des institutions et programmes spécialisés des Nations Unies basés à Genève. Les correspondants ont également accès aux conférences de presse, points de presse et séances d’information qui se tiennent quasiment tous les jours au Palais des Nations.
Le Service de l’information des Nations Unies publie régulièrement des communiqués de presse et des comptes rendus des grandes réunions qui se déroulent à Genève, en particulier les sessions du Conseil des droits de l’homme, des Comités des droits de l’homme et de la Conférence du désarmement.
Les médias ont à leur disposition des espaces de travail en location ou gratuits. Ils peuvent aussi accéder aux services et studios de radio et de télévision des Nations Unies, selon les disponibilités.
International launch of the the Haiti Transitional Appeal (2015-2016) which will serve as the operational plan for the UN and partner’s humanitarian action and resilience building in Haiti over the next two years. UN Deputy Special Representative of the Secretary-General, and UN Resident and Humanitarian Coordinator in Haiti, Mr. Peter de Clercq.
L’OMS lance ses premières lignes directrices sur le traitement de l'hépatite B chronique, une infection virale qui se transmet par le sang et les fluides corporels, attaque le foie et est responsable de centaines de milliers de décès chaque année - la majorité dans les pays à faible ou moyens revenues. Dr. Gottfried Hirnschall, Directeur, Département VIH/SIDA, OMS Dr. Stefan Wiktor, chef d’équipe, Programme mondial contre l’hépatite, OMS Dr. Philippa Easterbrook, Scientifique, Programme mondial contre l’hépatite, OMS
Nouveau partenariat opérationnel OMS/PAM pour en terminer avec Ebola Le déploiement d’équipes techniques de terrain expérimentées en épidémiologie, en suivi des cas et des contacts et en prévention et contrôle, est vital pour stopper complètement l’actuelle épidémie du virus Ebola en Afrique de l’Ouest. Pour assurer le maximum d’efficacité des équipes de l’OMS dans toutes les régions et dans tous les districts, comtés et préfectures des trois pays affectés, l’OMS et le PAM lancent un partenariat innovant pour établir une plateforme commune opérationnelle. Cette plateforme commune fournira toute la logistique nécessaire et le soutien opérationnel à ces équipes techniques sur le terrain. Chaque équipe est essentielle pour éliminer les cas d’Ebola dans ces pays et pour établir une infrastructure d’alerte et de réponse pour les crises futures. · Bruce Aylward, Représentant spécial du Directeur-General de l’OMS pour la réponse à Ébola · Cesar Arroyo, Coordinateur Régional du PAM pour les Services Logistiques Communs
Le Rapporteur spécial sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants parlera de son rapport annuel au Conseil des droits de l'homme, dans lequel il explore le cadre juridique international et les normes de protection des enfants privés de leur liberté contre la torture ou autres mauvais traitements, les conditions de détention préjudiciables à leur développement. Il mentionnera aussi les lois et normes spécifiquement liées à la prévention de la torture et des mauvais traitements sur les enfants privés de liberté; ainsi que les lacunes dans leur mise en œuvre. Le Rapporteur spécial fera également référence à ses rapports de pays sur le Mexique et la Gambie, ainsi que de ses rapports de suivi sur la Tunisie et le Tadjikistan. M. Juan E. Méndez, Rapporteur spécial sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants
Le Rapporteur spécial sur la liberté de religion ou de conviction se parlera au sujet de son rapport annuel au Conseil des droits de l'homme sur la prévention des actes de violence commis au nom de la religion : « On aurait tort, lorsqu’on analyse le problème, de mettre exclusivement l’accent sur la religion, mais il serait tout aussi simpliste de réduire les motivations religieuses à de simples «prétextes» pour les crimes violents perpétrés en leur nom. » L'expert sera également se référera à ses rapports sur ses missions 2014 au Kazakhstan et au Viet Nam. M. Heiner Bielfeldt, Rapporteur spécial sur la liberté de religion ou de conviction.
La 3ème Conférence Mondiale sur la Réduction des Risques de Catastrophe se tiendra du 14 au 18 mars 2015 à Sendaï, au Japon. La communauté internationale y adoptera un nouvel accord cadre pour les dix prochaines années, afin de limiter la mortalité et les pertes économiques dues aux catastrophes et ce, après l'accord du Cadre d'action de Hyogo (2005-2015). Le briefing donnera les détails de la Conférence Mondiale, l'impact du futur Cadre d'action ainsi que celui de 2005 à 2015, et fournira les données sur les catastrophes depuis 2005. Mme Margareta Wahlström, Représentante spéciale du Secrétaire-Générale pour laréduction des risques de catastrophe
Présentation des statistiques annuelles et tendances sur les femmes au parlement et les progrès des 20 dernières années depuis le Programme d’action de Beijing Kareen Jabre, Directeur, Division des programmes de l'UIP
Journée mondiale de la femme - Lancement d'un rapport sur le "Motherhood Pay Gap" - Beijing - vingt ans après: quel progrès? Le rapport et les documents associés sont sous embargo jusqu'à jeudi, 5 mars, 23 h (GMT) - Shauna Olney, Cheffe, Service des questions de genre, de l’égalité et de la diversité - Kristen Sobeck, Economiste, spécialiste des questions salariales
Nouvelles directives de l'OMS sur la réduction de la consommation de sucres Le 4 mars à 15 heures, l'OMS publiera de nouvelles lignes directrices sur les apports en sucre chez les adultes et les enfants. Les apports en sucre varient selon l'âge, l’environnement et le pays. L’ orateur informera les médias sur les nouvelles lignes directrices fondées sur l’analyse de l’ensemble des études scientifiques récentes. Ces lignes directrices fourniront aux pays des recommandations concernant les limites à imposer à la consommation de sucres pour faire régresser des problèmes de santé publique comme l’obésité et les caries dentaires. Dr Francesco Branca, Directeur, Département de la nutrition pour la santé et le développement, OMS